Good Morning Call : Du drama sur Netflix France ?

  ·  Eika ·  drama, netflix, série, japon, romance ·  0 commentaires

Good Morning Call : Du drama sur Netflix France ?



Je dois vous confier quelque chose. J’ai été une junkie des dramas japonais. Alors oui, je vous l’accorde il y a bien, bien pire comme addiction, mais ça fait quand même partie d’une phase assez obscure de ma vie (mon année de seconde) où je regardais tellement de dramas et d’animes romantiques que dans le brouhaha, je croyais entendre les gens parler japonais. Je ne dormais quasiment pas, puisque je regardais des dramas toute la nuit jusqu’à 4h du matin, et programmais mon réveil deux heures plus tard pour pouvoir continuer à utiliser l’ordinateur portable de mes parents à l’aube, avant que toute la maisonnée ne se réveille. Une fois décrochée de mon écran de force par ma famille, c’était la déprime : je n’attendais que le moment où je pourrais retourner à mes dramas, emprisonnée dans une sorte de torpeur assommante, comme un zombie. La fin d’une série était peut être le plus dur à vivre. Il m’arrivait de pleurer pendant des heures : pour atténuer mon chagrin, le seul moyen était d’en trouver une autre. Quand j’ai réussi à confronter mon problème, j’ai décidé de me purger et d’arrêter totalement mon visionnage de dramas, du jour au lendemain. Par la suite, j’ai découvert les séries américaines et anglaises qui m’ont définitivement détachée de tout ça, et qui m’ont plongée dans une consommation de fictions plus raisonnée et raisonnable (mais toujours passionnée). Pourtant, il y a quelques mois, j’ai entendu dire que les dramas allaient débarquer sur Netflix, et c’était comme si mon sombre passé me revenait en pleine face. Au début, je n’ai pas trop vu passer ces productions, peu mises en avant sur la page d’accueil de mon compte Netflix, et je me suis dit que j’allais tout simplement faire comme si elles n’existaient pas, pour me préserver. Et puis un beau samedi matin, l’aperçu du drama Good Morning Call était en première page, en énorme sur ma télé, et j’ai craqué.


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